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La vie de l'infoservice du Courrier
Mais vous n'êtes pas branché ?
Douteux : acheter un terrain sur la lune
Plus terre à terre, Terre-net
Exploratoire : l'entomologie
Encadré I. L'entomologie...
Depuis janvier 1996, rappelons-le, le Courrier de l'environnement
dispose d'une place sur le réseau des réseaux (Internet) et
les internautes de France, de Navarre et du reste du monde habité
peuvent y puiser, d'une part, des informations récapitulant, reprenant,
réorganisant ce qui a été publié dans les pages
papier depuis le n°1 de 1986 : titres des articles classés
par numéro, par thème,
par auteur ; quelques textes, la plupart des
dessins de Rousso, les
bibliographies, etc. et, d'autre part, des choses
originales comme les annonces de colloques (livrées
toutes chaudes), une grande liste de fêtes et
de saints patrons (très consultée),
une fenêtre sur des champs du Vexin
français, des paysages commentés par des
agronomes, un gros dossier sur la crise
de la vache folle, un ensemble de liens vers d'autres sites de la toile
assortis de nos commentaires. Il ne s'agit pas là d'une version
électronique de la revue qui pourrait supplanter la version papier
mais un complément et un renfort, une ouverture vers de nouveaux lecteurs
et d'autres modes de lecture.
Les Bibliographies du Courrier (rubrique qui livre des recensions
ou signale le contenu de livres, périodiques, documents, etc.) sont
" en ligne ", c'est-à-dire disponibles sur votre écran ou sur
le papier de votre imprimante. Pas de classement savant avec thésaurus
de mots clés. L'outil de recherche de la page d'accueil vous permet
de poser un mot ou une séquence de mots (très judicieusement
choisi) et vous retourne toutes les occurrences dans toutes les pages-écran
de l'infoservice. C'est un peu rustique, certes... Et les références
ont vieilli - plus ou moins bien certainement. C'est comme les articles.
Eux aussi seront mis progressivement en ligne, consultables sur écran
et toujours imprimables à domicile. Les anciens numéros (que
nous envoyons toujours très volontiers à qui nous en fait la
demande) s'épuisent mais il sera toujours possible d'en consulter
le contenu, de n'importe où sur la planète ou ailleurs, à
partir des étagères virtuelles du serveur de l'INRA branché
sur Internet.
Si l'infoservice du Courrier n'a pas connu de bouleversements, il
mérite (cent fois) votre visite régulière car il est
tenu à jour - assez régulièrement - et est enrichi -
petit à petit.
[R] Mais vous n'êtes pas branché ?
Vous êtes l'immense majorité... Parmi les destinataires du
Courrier, il y autour de 5% d'internautes - selon nos (incertaines)
estimations. Les chercheurs, INRA et autres, sont pour la plupart au moins
des usagers (très satisfaits) du courriel (courrier électronique),
tandis que les ressortissants de certains ministères et organismes
ignorent la chose... La France comptait 420 000 internautes réguliers
en juin 1997 (enquête SOFRES), la plupart connectés à
leur bureau. Un nombre qu'on ne peut éviter de rapprocher des 15 000
000 de minitélistes (très satisfaits). Le premier ministre
a annoncé, fin août, la migration des services du Minitel vers
Internet. Si Internet est moderne, mondial, parle et chante et est en couleur,
le Minitel est simple, très peu cher à installer, très
facile à brancher, riche d'informations et de services et sait vous
faire payer ce qu'il vous apporte. Internet promet de l'information de tous
niveaux sur tout, des échanges inter-individuels, du commerce, de
l'amusement... Ce qu'on trouve sur Minitel mais avec des limites dues au
faible débit (pas d'images ni de sons) et à son inexistence
en dehors de nos frontières. La " migration " vers Internet pose
problème à France Télécom, qui engrange 6,5 milliards
de francs par an via la facture téléphonique, et aux fournisseurs
de service, qui s'en voient reverser la moitié. Quant au citoyen lambda,
il devra s'équiper d'un ordinateur (correct) muni d'un modem (qui
pourra certes remplir d'autres fonctions), souscrire un abonnement auprès
d'un fournisseur d'accès et... payer les communications
téléphoniques. France Télécom compte sur
l'augmentation du trafic pour compenser l'abandon du Minitel et les fournisseurs
de services recherchent des moyens sûrs de faire payer les grosses
sommes et pratiques pour les petites sommes. En définitive, que peut
espérer gagner l'utilisateur à cette évolution ?
Les journaux et revues (papier et électroniques), les radios et les
télés livrent sans cesse des études, des reportages
et des prophéties sur
une question à laquelle les trois " exemples " ci-dessous seront notre
contribution.
[R] Douteux : acheter un terrain sur
la lune :
www.moonshop.com/MoonShop/home_F.html
C'est farfelu ? tout à fait. On peut encore trouver des hectares à
cultiver, à aménager, à labourer, à ravager,
à empoisonner sur Terre et pour pas cher dans certains endroits. Et
pour planter quoi ? À part du drapeau ? Pour mener un élevage
hors-hors-sol de porcs transgéniques en masse avec acheminement
derrière un tracteur spatial des molécules odorantes et du
lisier jusqu'au Soleil ? Oui, mais pas tout de suite, car l'itinéraire
technique est encore à l'étude dans nos instituts.
En fait pour recevoir, encadrer et accrocher au mur un titre de
propriété sur parchemin (le " zéro-papier " reste une
utopie). Le site Internet est bien fait, amusant. On n'y promet pas une visite
de la propriété - 1 778 acres la parcelle, soit environ 711
ha, pour 16 dollars - et on n'oublie ni la " taxe lunaire " ni les frais
de " manutention et envois " (10 $, ce doit être l'envoi du parchemin
à l'adresse terrienne du propriétaire).
[R] Plus terre à terre, Terre-net
:
www.terre-net.fr/
News, Actualités, Sites pro, Dossiers, Famille, Entre vous, Terroir
et Contact sont les éléments (les rubriques) d'un
site qui se présente comme le " premier web agricole " et une " plate
forme fédérative ". Le principe a retenu notre attention :
offrir aux agriculteurs (et à tous les para-agricoles) un lieu
d'échange, via Internet, avec les bourses, un accès aux
écoles, aux marchés, aux commerces et un lieu de discussion
- sous forme de foire aux questions (FAQ) -, rassembler des dossiers, proposer
des expertises, livrer des conseils, afficher les dépêches
d'Agrapresse, etc. Certaines informations sont gratuites, les plus " pointues
" ne sont servies qu'aux abonnés.
Le Réseau semble bien pouvoir offrir à l'agriculteur, technicien
et gestionnaire relativement isolé, un outil très puissant
pour l'informer, le guider, lui permettre des transactions, lui faciliter
les échanges avec ses collègues, son encadrement, ses banques,
ses fournisseurs, ses clients, etc. Tout semble possible sur Internet, à
part tâter la vache qu'on envisage d'acheter (mais qui sait ?) : mettre
à jour son logiciel de calcul de ration (ou de nitrates en trop),
proposer ses chambres d'hôtes, déterminer le puceron qui colonise
ses épis d'orge, suivre la crise de la vache folle en ligne, recevoir
les avertissements agricoles, savoir ce qu'on dit des paysans dans Le
Monde, les DNA ou l'Humanité, savourer la
définition de mousche dans le Thrésor historique
de la langue française de Jean Nicot, interroger la météo,
commander tant de bidons d'insecticide (pas trop !), suivre le cours du fromage
de brebis bio, retrouver un article intéressant du Courrier de
l'environnement.
Regrouper, ranger, présenter de façon claire et efficace l'ensemble
des ressources disponible sur la Toile et offrir des services particuliers
(dépêches, expertises, forums) est indispensable. C'est l'ambition
de Terre-net. Pour l'heure, le site est en construction et son manque de
finition sur la forme (esthétique, frames et bandeaux trop lourds)
et surtout sur le fond (pages incomplètes, liens parfois farfelus)
peut agacer le " terre-naute " et l'inciter à zapper, s'il ne retourne
pas à sa télé, à ses journaux et revues, à
son télécopieur, à son portable (téléphone).
[R] Exploratoire : l'entomologie
Comment extraire de la Toile l'information qu'elle renferme sur un sujet
donné et ce en un temps fini, voire même en ayant une idée
de la valeur de cette information ? Internet est réputé riche
d'informations introuvables tout autant que douteuses et offertes en anglais,
une image qui rebute les internautes potentiels ou débutants. Prenons
un sujet délimité, l'entomologie et expérimentons. Des
" moteurs de recherche " offrent d'afficher la liste de tous les sites ou
de toutes les pages qui renferment tel mot-clé. Sur le Web mondial,
il y aurait 90 800 occurrences d'" entomology " et 117 610 d'" insect " mais
seulement 2 000 d'" entomologie " et 679 d'" insecte ". Ces chiffres sont
un indicateur assez grossier mais net du partage linguistique : on trouve
bien plus d'informations en entomologie rédigées en anglais
et, de fait, les sujets traités sont plus nombreux, les sites sont
plus copieux, les liens (de site à site) sont plus riches, les niveaux
et les approches sont plus divers. On trouvera aussi beaucoup plus de sites
farfelus, naïfs, puérils et illuminés en anglais. Et
l'anglophonie n'est pas un bloc ; elle livre en effet beaucoup d'informations
sur les insectes états-uniens, canadiens, australiens, finlandais,
anglais et... belges mais fort peu sur les insectes indiens. De même
la petite francophonie voit les Québécois publier autant que
les Français (5 fois plus nombreux) - les pays africains étant
absents.
La langue est une difficulté importante et si les chercheurs font
leur affaire de pages en anglais dans leur domaine précis et arrivent
à rédiger des messages électroniques, voire des textes,
bien des internautes ordinaires risquent d'être lassés, voire
rebutés. Ils risquent de plus de se sentir frustrés des magnifiques
sites que plusieurs universités (notamment états-uniennes)
entretiennent et enrichissent, dopées par leur rivalité, et
de projets encyclopédiques mettant les contributeurs en réseau
(comme Tree of Life), passionnants. Aux amateurs de faire comme les
scientifiques : se perfectionner en anglais, user des bons glossaires, lire
et relire. Mais aux entomologistes de publier dans leur langue (avec, si
le sujet est important et transnational, une version anglaise) et de livrer
des traductions des pages publiées en étranger, si elles le
méritent. Et aux linguistes de nous concocter des traducteurs en ligne
(l'entomologie, qui use d'un vocabulaire précis, vaste mais limité,
s'y prête mais n'est pas un gros marché...). Et à chacun
de veiller à maintenir l'excellente habitude universelle du nom
scientifique (latinisé), sans cesser de faire vivre les noms
vernaculaires.
Explorons la cyber-entomologie française (égale à tous
points de vue à son homologue canadienne), au moyen des listes de
sites et des moteurs de recherche du style " recherche dans le Web francophone
". Quelques-uns de ces outils annoncent 2, 4, 10 sites (ceux qui s'enrichissent
par déclaration des tenanciers de sites). Ceux qui explorent le contenu
des pages nous ont trouvé des listes, diversement ordonnées
et au contenu assez dissemblable, de quelques centaines de pages. Première
impression : une grande activité de création, peu de pages
orphelines, peu de bizarreries, mais une " couverture " très lacunaire
du sujet et une grande disparité d'ambition entre les sites.
Les auteurs des sites les plus copieux sont des organismes publics (l'Institut
national agronomique, qui bâtit progressivement une encyclopédie
dans le cadre de projets confiés aux étudiants en
spécialité et encadrés par une équipe d'enseignants,
l'INRA avec son Catalogue des Lépidoptères des Antilles
françaises et avec l'encyclopédie des ravageurs HYPPZ +
HYP3, extraite d'un cédérom). Les autres créateurs de
pages Web entomologiques sont des associations (nationales comme l'OPIE et
régionales : la Ligue de protection des grillons du métro parisien
: Limousin, Oyonnax, Fontainebleau), des musées (le musée
éducatif d'entomologie de Levins, Sciences pour tous à Caussols,
ainsi que le musée d'Angers, tandis que l'OCIM donne la liste
complète des musées naturalistes de France - n'oublions pas
la Bibliothèque nationale qui nous offre les enluminures - du XVe
siècle - de Barthélémy l'Anglais), des classes d'école
(Châteauroux-les-Alpes, Embrun), des particuliers (amateurs de
coléoptères, d'apiculture, de photographie animalière,
de timbres, etc., amateurs d'un lieu comme un marais, une forêt, amateur
de " paresse au jardin " également...). La presse est présente
notamment au travers de quelques dépêches de l'AFP. Les
universités présentent leurs enseignements spécialisés
et le Muséum ses programmes. Le département Sciences de la
vie du CNRS publie des articles scientifiques de très bonne vulgarisation,
en particulier sur les plantes transgéniques et sur la protection
des plantes, et notamment écrits par des chercheurs de l'INRA. Du
même CNRS, le Laboratoire de neurobiologie dresse un album de coupures
de presse. Depuis Pipangaï (La Réunion), nous est expliquée
la genèse d'un cédérom sur la nature dans l'île
autour du cas du papillon Phorbanta alors qu'un film pédagogique
sur le criquet nous est proposé depuis un labo de Pau. Depuis
Sérignan, nous sommes invités à visiter l'Harmas de
Fabre tandis que le Salon de l'insecte affiche une page-annonce dans Foires
et salons à Paris.
Les sites para-entomologiques ne manquent pas. Citons celui de l'institut
Bruno-Comby (" mangez des insectes "), un autre dédié à
La cuisine aux insectes, le détail de La guerre des coprophages
(avec les agents Mulder et Scully), des images de synthèse, un extrait
des Paysans de Balzac, des insectes dans l'ambre au rayon " Pouvoir des pierres
", les paroles d'une chanson coquine La Puce.
Et la lutte contre les insectes ? Le Sénat traite du " Problème
des termites en France : une réalité souvent mal connue ",
quelques questions-réponses, plutôt à l'échelle
du jardinet, s'accumulent dans Terre-net. Point de catalogue de
fournitures, ni d'ouvrages, un seul manuel d'apprentissage (celui de l'Agro),
pas de clés de détermination (sauf celles très
générales et malheureusement sans illustrations de ce site),
fort peu de bibliographie, pas de livres anciens, pas de dictionnaire, pas
de faune par milieu, de très rares textes législatifs, pas
de listes d'entomologistes, pas de séquences animées, une unique
stridulation (à ne pas manquer, celle du grillon du métro).
Le risque est souvent pointé que la matière soit traitée
sans sérieux sur Internet. Nous n'avons pas trouvé plus
d'âneries ni d'imprécisions que dans la presse ou les publications
de niveau équivalent.
Par rapport à la moindre bibliothèque, Internet apporte peu,
mais il l'apporte à domicile, à peu près gratuitement,
où qu'on soit. Internet possède des propriétés
et des fonctions qui lui donnent un certain avantage par rapport aux médias
classiques (pas de dépenses de multiplication, images en couleurs
pour un coût très faible, échanges possibles en ligne
de textes, images et sons, accès à des bases de données,
organisation globale d'éléments disparates, etc.). Ceci reste
à peine exploité et la plupart des pages sont des transpositions
directes de documents imprimés. Point n'est besoin de progrès
techniques majeurs pour faire évoluer la Toile entomologique vers
un ensemble vraiment utile, efficace et plaisant : le comblement des lacunes
actuelles en termes de contenu, la poursuite des efforts pour entretenir
des sites qui guident les pas de l'entomonaute (comme les index et " kiosques
" de Naturam cognosco, Yahoo, OPIE-Insectes). On peut craindre que de nombreux
sujets ou taxons restent " orphelins ", délaissés par tous.
Comme en édition papier, des rédacteurs en chef
d'encyclopédies ou d'ouvrages de référence s'en occuperont.
Les institutions étatiques ou régionales ont beaucoup de travail
à accomplir : elles disposent de données (textes, images et
sons) en quantité et qualité, qui ne sont pas des secrets et
qui possèdent une valeur commerciale insignifiante. Les associations
ne pourront pas se passer de leur infoservice, média relativement
peu coûteux et propice au travail en commun de leurs membres et aux
relations extérieures. On verra aussi des particuliers, amateurs
chevronnés, réaliser des sites passionnants. Quant aux
éditeurs, ils ne nous priveront pas de sitôt des lourds
traités et recueils incontournables ni des beaux livres (films et
cédéroms) qui nous régalent et trouveront le moyen de
faire payer (subventions, visiteurs, publicité) ce qu'ils mettront
en ligne, comme les revues, les albums, les encyclopédies, les guides
ou les actes de colloques.
Aujourd'hui complément marginal des supports classiques de l'entomologie
sous tous ses aspects et pour tous ses public, les pages Web véhiculeront
une part de plus en plus grande des données publiées ou
échangées dans cette discipline. Internet pourra même
devenir le support unique de réalisations particulières de
diverses tailles impliquant de multiples auteurs dispersés (professionnels
et amateurs associés, éventuellement), qui seront aussi lecteurs
et utilisateurs : pensons à des faunes, à des clés
illustrées), à des inventaires pour évaluer la
biodiversité ou suivre les effets d'aménagements ou de pollutions,
à des surveillances de migrations, d'attaques de ravageurs, à
des mesures du polymorphisme au sein des espèces...
C'était, sur le cas spécial mais concret de l'entomologie,
une mise à l'épreuve d'Internet, qui reçoit la mention
" travail désordonné mais méritoire ; doit faire des
efforts en anglais sans oublier le latin, rattraper son retard par rapport
à ses camarades européens et américains du Nord, combler
ses lacunes thématiques et taxinomiques ; un travail coopératif
amènera l'examiné à un niveau satisfaisant ".
A.F.
L'entomologie est la science des Insectes (animaux articulés à squelette externe possédant 3 paires de pattes). C'est une discipline indispensable en agronomie (insectes ravageurs des cultures, des denrées, des forêts et insectes auxiliaires), en médecine humaine et vétérinaire (insectes piqueurs et vecteurs de maladies), en halieutique et en ornithologie (insectes nourriture des poissons et des oiseaux), en biologie et en génétique (la drosophile, notamment, animal de laboratoire prodigieux), en écologie (insectes bio-indicateurs, insectes sentinelles...) et en gastronomie (le miel, avant tout). L'entomologie emploie (à temps plus ou moins plein) de nombreux chercheurs, techniciens, animateurs, éditeurs, enseignants, illustrateurs, etc. et passionne beaucoup d'amateurs (éleveurs, collectionneurs de spécimens, chasseurs d'images, bibliophiles) - dont certains en font leur métier. C'est une discipline bien identifiée - et de la même façon dans tous les pays -, aux usages et aux approches variés, réputée très difficile (on compte plus de 700 000 espèces décrites, appartenant à une trentaine d'ordres, de biologies très différentes). Les connaissances sont rangées et exposées dans des muséums (collections), des ouvrages et des revues de tous niveaux, ainsi que, plus récemment, dans des banques de données (informations textuelles, sons, images) et aussi des films documentaires et quelques disques compacts. N'oublions surtout pas Microcosmos, au succès public éclatant ; elles sont enseignées depuis les leçons de choses.
PS : le texte ci-dessus n'a pas été entrelardé des adresses
" URL " des sites évoqués. Le lecteur intéressé
ira à
www.inra.fr/OPIE-Insectes/la-toile.htm,
où il trouvera (en principe) tous les liens nécesaires pour
visiter de fond en comble la cyberentomologie. Merci d'avance pour toute
remarque.
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